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Faut-il jeter tous les aliments dont la date est dépassée ?

Lorsque l’on fait nos courses, il est important de vérifier la date de péremption des produits que nous achetons. Cette date nous permet de savoir jusqu’à quand le produit est consommable sans risque pour notre santé. Cependant, que faire lorsque cette date est dépassée ? Est-il impératif de jeter le produit à la poubelle ou peut-on encore le consommer en toute sécurité ?

La réponse n’est pas aussi simple qu’on pourrait le penser. En effet, cela dépend du type de produit et de la durée de dépassement de la date de péremption.

Tout d’abord, il est important de distinguer deux types de dates : la date limite de consommation (DLC) et la date de durabilité minimale (DDM).

La DLC est la date à partir de laquelle le produit n’est plus consommable sans risque pour notre santé. Il s’agit des produits périssables tels que la viande, le poisson, les produits laitiers, etc. Il est donc impératif de jeter ces produits une fois la DLC dépassée, car leur consommation peut causer des troubles digestifs, des intoxications alimentaires, voire des infections bactériennes.

En revanche, la DDM est la date jusqu’à laquelle le produit conserve ses qualités gustatives et nutritionnelles, sans pour autant représenter un danger pour notre santé. Il s’agit notamment des produits secs tels que les pâtes, le riz, les conserves, etc. Ces produits peuvent être consommés après la DDM, mais leur qualité gustative et nutritionnelle peut être altérée. Il est donc préférable de les consommer avant cette date.

Il est important de prendre en compte la durée de dépassement de la date de péremption. Si celle-ci est minime, il est possible que le produit soit encore consommable sans risque pour notre santé. Si la date est largement dépassée, il est préférable de jeter le produit pour éviter tout risque.

Il est important de prendre en compte les conditions de stockage du produit. Si celui-ci a été stocké dans de bonnes conditions (température, hygrométrie, lumière), il peut être consommé plus longtemps que la date de péremption indiquée sur l’emballage. En revanche, si le produit a été mal stocké, il peut être dangereux à consommer même avant la date de péremption.

En résumé, les produits dont la date est passée ne sont pas tous à jeter. Tout dépend du type de produit, de la durée de dépassement de la date de péremption et des conditions de stockage. Il est donc important de vérifier ces éléments avant de consommer un produit dont la date est passée. En cas de doute, il est préférable de jeter le produit pour éviter tout risque pour notre santé.

(Source : Mangerbouger.fr)

Grignotage : comment en finir ?

Il est courant de succomber à la tentation de grignoter, que ce soit en mangeant une tranche de saucisson ou des sucreries devant la télévision, devant son ordinateur...

Le grignotage régulier peut être néfaste pour la santé, surtout s’il se compose de snacks gras, de chips et autres aliments trop sucrés ou trop salés. Il existe plusieurs astuces pour éviter de grignoter tout au long de la journée, comme manger varié et équilibré aux repas, réduire la consommation de produits ultra-transformés, consommer des aliments riches en fibres, planifier ses menus sur la semaine, rythmer sa journée autour de trois repas, prendre son temps pour manger, et s’occuper pour éviter l’ennui et la sédentarité.

(Saviez-vous qu’une consommation de sel et de produits salés en excès – supérieur à 5g de sel par jour pour un adulte – favorise l’hypertension artérielle et les risques de maladies cardio-vasculaires.)

Si vous avez faim entre les repas, vous pouvez prendre une petite collation saine, comme un fruit frais ou une poignée de fruits à coque.

Limiter la présence de produits gras, salés ou sucrés dans la maison : si vous n’avez pas ces aliments sous la main, vous serez moins tenté de grignoter. Évitez également de faire vos courses lorsque vous avez faim, cela vous incitera à acheter des produits moins sains.

Boire de l’eau régulièrement : la sensation de soif est souvent confondue avec celle de la faim. En buvant suffisamment d’eau tout au long de la journée, vous éviterez les fausses sensations de faim qui vous inciteraient à grignoter.

Faire des pauses régulières : si vous travaillez toute la journée ou si vous êtes souvent occupé, il est important de faire des pauses régulières pour vous détendre et vous ressourcer. Ces pauses peuvent être l’occasion de faire une petite collation saine, comme une pomme ou une poignée de fruits secs, qui vous donnera un regain d’énergie sans nuire à votre santé.

Éviter les régimes trop restrictifs : si vous suivez un régime très restrictif, vous risquez de ressentir une faim intense entre les repas, ce qui peut vous inciter à grignoter. Il est donc important de manger suffisamment aux repas et de choisir des aliments sains et variés pour éviter les fringales.

En adoptant ces habitudes saines, vous pourrez tenir jusqu’au prochain repas sans grignoter et maintenir une bonne santé.

Pour vous aider :

Augmenter la consommation de fruits et légumes, les légumes secs.
Privilégiez les féculents complets, les poissons gras et maigres en alternance, l’huile de colza, de noix, d’olive, 2 produits laitiers par jour.
Réduisez la consommation des boissons sucrées et les produits sucrés, les aliments ultra-transformés, les produits avec un Nutri-Score D et E, la charcuterie, la viande (porc, bœuf, veau, mouton agneau, abats) et réduire le temps passé assis.
Consommer des aliments riches en fibres, comme par exemple des légumes secs (haricots, lentilles, pois chiches…) au moins deux fois par semaine ou des féculents complets (riz complet, semoule complète, pâtes complètes…) au moins une fois par jour. Les fibres permettent d’augmenter la durée de la sensation de satiété entre les repas, c’est-à-dire qu’elles évitent d’avoir rapidement à nouveau faim.

(Source : Mangerbouger.fr)

Fruits et légumes : cuisinez en famille, c’est bon pour la santé !

Transmission d’un savoir-faire, moments de partage… Cuisiner en famille est l’occasion de donner à votre enfant l’envie de consommer des fruits et légumes frais. Il sera enchanté et amusé de découvrir et goûter des produits aux formes, aux saveurs et aux couleurs toujours différentes. De plus, vous aurez un nouveau chef à vos côtés !

#1 Simple

Donner l’habitude de consommer régulièrement des fruits et légumes frais à ses enfants est accessible à tous.

  • L’enfant agissant par mimétisme des adultes, montrez-lui l’exemple à table comme en cuisine, soyez constant et toujours positif.
  • Alimentez ses connaissances et apprenez-lui les gestes élémentaires : expliquez-lui comment poussent les endives, se récoltent les asperges, se lavent les fraises, s’épluche un concombre, se découpe un ananas, se cuit un chou, s’associent certains fruits avec du fromage, se dégustent les kiwis à la petite cuillère…

#Ludique

Adoptez une pratique ludique : toucher, goûter, découper et présenter de façon originale, compter les quantités… Cuisiner en s’amusant, c’est apprendre facilement !

Le côté expérimental de la cuisine en famille éveille les sens de votre enfant : initié aux différents parfums, aspects, goûts ou textures, il s’accoutume petit à petit à toutes formes de fruits et légumes. Cela le prédispose à rester ouvert à la nouveauté.

Au fur et à mesure qu’il développe ses compétences d’apprenti cuisinier, il prend davantage de liberté, ose et propose. Résultats délicieusement surprenants ou recettes hasardeuses, son imagination et sa créativité sont stimulées.

#EnFamille

La Caisse des Écoles du 17e vous propose tous les 2 mois, une nouvelle recette avec des produits de saison, que vous pouvez réaliser chez vous très facilement. Prenez le temps d’accompagner votre enfant et partager ce moment convivial.

#Rapide

Le week-end, pendant les vacances ou même au quotidien, quelques minutes suffisent pour préparer des fruits et/ou des légumes.
Profitez des événements exceptionnels (anniversaire, fête…) pour réaliser des ateliers culinaires en famille.


Pour conclure, plus un enfant a été sensibilisé et en contact avec les fruits et légumes, plus il va les accepter facilement. Alors n’hésitez plus :

  • Faites les courses ensemble que ce soit sur les étals et les marchés ou bien aux rayons fruits et légumes
  • Cuisinez en jouant avec les couleurs et les textures des fruits et légumes
  • Montrez à vos enfants que manger des fruits et légumes frais et les cuisiner peut être ludique et amusant.


(Source : https://www.lesfruitsetlegumesfrais.com/)

6 avantages à consommer des légumes et des fruits frais

Pourquoi les fruits et légumes frais, c’est bon pour la santé ?

Parce que dans les fruits et légumes frais possèdent une foule de composants utiles au bon fonctionnement de ton corps.

1er avantage : Des vitamines

La vitamine C te permet de rester en forme et aide ton corps à se défendre contre les maladies. Il n’y a que les fruits et légumes qui peuvent t’en apporter.
Les vitamines B permettent aux cellules de ton corps de bien fonctionner.
Les carotènes se transforment dans ton corps en vitamine A et c’est cette vitamine qui te fait grandir et qui est bonne notamment pour ta vue.

2e avantage : Des minéraux

Des minéraux, comme le calcium, le magnésium, le fer, le cuivre et le fluor. Ton organisme en a absolument besoin. Et grâce au calcium, tes os peuvent bien grandir.

3e avantage : Des fibres

Des fibres, qui t’aident à bien digérer, et participent au bon fonctionnement de ton tube digestif. Elles sont

4e avantage : Des glucides

(ou sucres), qui servent de carburant pour ton cerveau et pour tes muscles. On les trouve surtout dans les fruits. Tu peux donc en manger un avant le sport pour faire le plein d’énergie ou après un match pour reprendre des forces.

5e avantage : De l’eau

très utile pour transporter les vitamines et les minéraux dans ton organisme. Et c’est aussi très rafraichissant : une belle pomme contient par exemple l’équivalent d’un verre d’eau !

6e avantage : Des pigments colorés

ce sont eux qui donnent de belles couleurs appétissantes aux fruits et légumes. Et ils servent aussi à protéger ton organisme.


(Source : https://www.lesfruitsetlegumesfrais.com/)

Habitudes alimentaires : comment accompagner vos ados à adopter un meilleur rythme

Certains adolescents sont friands des aliments sucrés ou gras entre les repas. Le grignotage devant l’écran de leur smartphone, d’ordinateur ou de la télévision devient alors une habitude.

L’organisation des repas

Pour arrêter de grignoter toute la journée, il est nécessaire de respecter le rythme de 3 repas par jour, en essayant de les prendre à heure fixe. Pendant le repas, il est recommandé de consommer des féculents (pâtes, pain, riz…) qui apportent de l’énergie pour tenir jusqu’au repas suivant. En cas de petit creux, il est conseillé de choisir un fruit, accompagné de 2 tranches de pain et d’un carré de chocolat par exemple.

Les ados raffolent souvent des produits sucrés. Ce n’est pas une fatalité, vous pouvez en discuter avec eux et les aider à limiter ces produits avec des petites astuces :

  • Les fruits sont naturellement sucrés et apportent en plus des vitamines. Frais, cuits, entiers ou en compote, il en existe toute une ribambelle pour varier les plaisirs.
  • En ce qui concerne les sodas, on peut en consommer de temps en temps.  On peut aussi alterner avec des versions « light » ou de l’eau pétillante aromatisée, par exemple. Les produits laitiers peuvent aussi être agrémentés d’une touche sucrée en y ajoutant des fruits frais coupés en dés ou de la compote.
  • Au goûter ou au petit déjeuner, on peut accompagner un morceau de pain d’un carré de chocolat (noir dégustation, au lait avec des noisettes, des amandes ou des raisins secs).

Le grignotage

Grignoter, c’est manger en dehors des repas. Le grignotage peut être encouragé par des menus peu consistants, mais aussi par le stress, l’ennui, etc. Lorsqu’on grignote, l’estomac travaille en permanence et il en prend l’habitude. Déréglé, il ne reconnaît plus la « vraie » sensation de faim. De plus, l’adolescent a tendance à se jeter sur les distributeurs qui fournissent des aliments gras ou sucrés : gâteaux, bonbons, barres chocolatées…

Comment leur donner envie de bouger plus et de limiter les écrans ?

Rester toute la journée (devant la TV ou l’ordinateur), ce n’est pas bon pour la santé. Le problème avec les activités dites « sédentaires » (TV, ordinateur, console de jeux…), c’est que d’une part, on ne bouge pas, mais en plus, ça s’accompagne souvent de grignotage de produits sucrés ou gras et de consommation de boissons sucrées.

Pour être en bonne santé, il est recommandé aux enfants et adolescents :

  • de faire au moins 1h00 d’activité physique par jour,
  • de limiter le temps passé assis ou allongé et de prendre le temps de se lever au moins toutes les 2h00 pour marcher un peu.

Quelques idées à leur proposer pour bouger plus au quotidien :

  • Aller en cours à pied, à vélo, en rollers ou en skate quand c’est possible.
  • Pourquoi ne pas jouer au foot avec les copains ou aller se balader ?
  • Prendre les escaliers au lieu de l’ascenseur au quotidien.
  • À la piscine, essayer de nager à son rythme, au moins une demi-heure. C’est un bon moyen de faire travailler tous les muscles du corps.
  • Pratiquer un sport
  • Faire un grand ménage de printemps dans leur chambre et pourquoi pas changer un peu la déco ?

(source : mangerbouger.fr)

En septembre, la petite touche sucrée : le raisin

Comment le raisin est arrivé dans nos assiettes et petits bols d’été ?

La vigne a d’abord été présente à l’état sauvage dans de nombreuses parties du monde, avant d’être domestiquée au fil des siècles.

Si, pendant longtemps, le raisin sera seulement utilisé pour produire du vin, en France, on commencera à le consommer en bouche vers le 16e siècle, grâce notamment à François 1er qui en fera l’un de ses desserts favoris !Au 17e siècle, Louis XIV conservera le fruit à sa table et fera venir à lui les variétés les plus réputées. Les raisins du midi de la France étaient alors expédiés à Paris à dos de cheval ou de mulet, dans des caisses garnies de son !

Aujourd’hui, le raisin de table est abondant et disponible durant tout l’automne, voire même au-delà. Et chacun peut aisément choisir parmi les variétés qu’il préfère !

Choisissez bien vos raisins !

  • Choisissez les raisins avec des grains fermes, non ridés et non tachés. Prenez-les bien mûrs : une fois coupés, ils ne mûrissent plus.
  • La tige doit être verte, souple et cassante, sans être sèche.
  • Certaines variétés peuvent être recouvertes d’un léger voile blanc. Il s’agit de la pruine, de petites paillettes de cire que le fruit produit pour se protéger de la chaleur. Ainsi, sa présence est un gage de fraîcheur.

Bagatelle Pomme-Noix-Chataîgne

©Interfel/T.Antablian

PRÉPARATION
10 min

MODE DE CUISSON
Sans cuisson

DIFFICULTÉ
Facile

PRIX
Bon marché

SAVEURS
Sucrée

Ingrédients pour 2 personnes

  • 500 g de tomates 
  • 1 pomme
  • 0.25 citron 
  • 25 g de cerneaux de noix
  • 2 petits suisses
  • 2 belles cuillerées à soupe de crème de marrons
  • 0.5 c à s de sucre

Les étapes de la recette

  1. Peler les pommes, en ôter les cœurs et tailler en très petits dés. Les citronner. Dans le mortier concasser grossièrement les noix. Dans un bol, déposer les petits suisses et les sucrer.
  2. Répartir dans 4 grandes verrines successivement une bonne cuillerée à soupe de crème de marron, les dés de pomme, les noix concassées, le petit suisse. Décorer d’une pointe de crème de marron et de quelques brisures de noix.

Savez-vous ce qu’est un aliment ultra-transformé ?

Alors, c’est quoi un « aliment ultra-transformé » ? 

Les aliments ultra-transformés n’ont plus grand chose à voir avec les matières premières dont ils sont issus. En effet on dit qu’ils sont ultra-transformés car : 

  • Des additifs et/ou ingrédients (maltodetxrine, huiles hydrogénées, amidon modifié…) réservés à l’usage industriel et qui ne sont pas utilisés en cuisine à la maison, sont souvent ajoutés pour arriver au produit final que l’on retrouve dans nos rayons. 
  • L’aliment d’origine a subi d’intenses transformations physiques, chimiques ou biologiques par des procédés industriels (par exemple : fractionnement d’un aliment en de multiple composants – craking – prétraitement par friture, chauffage à très haute température…) 

Quelques exemples d’aliments ultra-transformés : 

  • Les sodas classiques et light, les boissons énergisantes
  • Les produits industriels comme les cordons bleus, les bâtonnets et nuggets à base de volaille, de poisson, ou de viande reconstituée
  • La charcuterie avec nitrites, 
  • Les nouilles instantanées ; les soupes de légumes déshydratés; 
  • La plupart des pains et brioches industriels, barrés de céréales, barres «énergétiques» et de nombreux gâteaux et biscuits industriels
  • La plupart des margarines
  • La plupart des boissons lactées aromatisées
  • Les desserts sucrés à base de fruits additionnés de sucres, d’arômes artificiels et d’agents texturants
  • Les barres chocolatées contenant généralement des émulsifiants
  • La plupart des légumes assaisonnés avec des sauces prêtes à l’emploi ; les galettes végétales (substituts de viande) contenant des additifs (texturants, exhausteurs de gout…) ; 
  • Les chewing-gums et bonbons avec colorants ou édulcorants
  • Les produits « santé » et « minceur » tels que les substituts de repas et de plats en poudre ou « enrichis », les aliments (yaourts, boissons, biscuits…) édulcorés

Qu’est-ce qu’un additif ? 

Dans la liste des ingrédients sur l’étiquette des produits que nous achetons nous pouvons parfois lire des mentions comme : E 300, E 104, E 129, gomme de xanthane, carboxyméthylcellulose, nitrites, acésulfame K, glutamate…  ce sont des additifs ! Ce sont souvent des ingrédients qu’on ne retrouve pas dans nos placards à la maison. Il s’agit entre autres d’édulcorants, d’émulsifiants, d’exhausteurs de goût, d’antioxydants… qui sont ajoutés dans les aliments pour améliorer leur saveur, leur goût, leur apparence et pour mieux les conserver.

On n’en connaît pas encore précisément l’impact sur la santé humaine à long terme. Alors par précaution, il est préférable de privilégier les aliments sans additif ou avec la liste la plus courte d’additifs.

Pourquoi il ne faut pas en abuser ?

Plusieurs caractéristiques des aliments ultra-transformés conduisent à penser qu’ils pourraient avoir des effets négatifs sur la santé, comme le suggèrent une vingtaine d’études épidémiologiques publiées récemment en France  et à travers le monde :

  • Ils sont de moins bonne qualité nutritionnelle en moyenne (plus de sel, sucre, graisses, moins de fibres, de vitamines, de minéraux)
  • Ils peuvent contenir des additifs dont l’impact sur la santé à long terme est encore mal connu, 
  • Idem pour la présence de contaminants formés au cours des procédés de transformation de ces aliments dont on ne connaît pas encore précisément l’impact sur la santé
  • Le contact prolongé avec les emballages alimentaires du fait d’une durée généralement longue de conservation pourrait également avoir un impact sur la santé
  • Les modifications de ces aliments lors des différents procédés de transformation impacteraient la vitesse de consommation de ces aliments, la vitesse de transit ainsi que l’absorption des nutriments qu’ils contiennent.

Alors par précaution on limite leur consommation.

Un aliment peu transformé est-il forcément de bonne qualité nutritionnelle ?

Non : même si les AUT ont en moyenne une moins bonne qualité nutritionnelle, il s’agit de deux notions différentes. Une pâtisserie maison très sucrée et contenant beaucoup de beurre n’est pas considérée comme un AUT mais est à consommer avec modération du fait de sa faible qualité nutritionnelle.

Quand vous faîtes vos courses, pour choisir les aliments de meilleure qualité nutritionnelle vous pouvez vous fier au Nutri-Score. Il permet de comparer 2 produits au sein d’un même rayon (par exemple les céréales du petit déjeuner), entre 2 marques différentes (par exemple des lasagnes de marques différentes) ou entre 2 produits consommés à la même occasion (par exemple des yaourts aux fruits avec des mousses au chocolats). En limitant les produits avec un Nutri-Score D et E on privilégie des aliments qui contiennent moins de sel, de graisses saturées, de sucre et de calories aux 100g, et plus de fibres, protéines, et fruits et légumes.

Pour manger encore mieux et se faire plaisir on essaie de cuisiner des plats maison

En cuisinant avec des produits frais de saison, des aliments en conserve ou surgelés non préparés comme des légumes nature ou des filets de poisson, nous pouvons limiter notre consommation d’aliments ultra-transformés.  
Le fait maison nous permet de limiter les aliments ultra-transformés mais aussi et surtout de se faire plaisir et de faire plaisir à ceux qui nous entourent. On peut passer de très bons moments à cuisiner, seul ou en famille. C’est aussi une activité ludique pour les enfants et un vrai moment d’apprentissage. Au final quel que soit notre âge, on est souvent contents de manger quelque chose qu’on a cuisiné soi-même !

Voir notre article : Alimentation saine : comment faire adhérer vos enfants

Pour finir !

Plus on cuisine maison moins on génère de déchets avec les emballages, c’est bon pour nous et aussi pour l’environnement, ça vaut le coup !

Voir notre article : Les conseils simples et rapides pour ne plus gaspiller

Votre Caisse des Écoles 17, toujours et encore mobilisée pour le dispositif « petits déjeuners » !

Un petit déjeuner pour bien commencer la journée à l’école

Le petit déjeuner est un repas incontournable pour le développement de votre enfant et une meilleure concentration en classe. Depuis janvier 2021, la Caisse des Écoles du 17e et la Mairie du 17e arrondissement s’associent à ce dispositif national.
La CDE17 met à disposition des écoles les denrées alimentaires, le personnel ainsi que le matériel nécessaire à la distribution des petits déjeuners. Les petits déjeuners sont servis par le personnel enseignant, dans les classes, de 8h20 à 8h40.

Depuis 1 an au coeur de notre arrondissement, 2 écoles sont pilotes de ce dispositif : Reims et Epinettes Maternelle.

Aujourd’hui, se sont les écoles Cité des fleurs et Pouchet qui se joignent au projet « petits déjeuners ». Le dispositif fonctionne sur la base du volontariat des équipes enseignantes des écoles REP (12 REP dans le 17e).

De quoi sont composés ces petits déjeuners ?

o   Lundi et vendredi : Cracottes, lait et fruit.

o   Mardi et mercredi : Pain de campagne, lait et fruit.

o   Jeudi : Pain aux fruits ou pain de mie, lait et fruit.

En quelques chiffres

Depuis 2021, c’est 28 300 petits déjeuners qui ont été servis.

Et dans les écoles du 17e :

École Cite des fleurs : 40
École Epinette Mat. : 48
École Pouchet : 45
École Reims Élém. : 82
École Reims Mat. : 25

La Caisse des écoles du 17e reste plus que jamais mobilisée pour ce dispositif, un moyen de soutenir les familles en offrant une alimentation saine et régulière aux enfants.