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6 avantages à consommer des légumes et des fruits frais

Pourquoi les fruits et légumes frais, c’est bon pour la santé ?

Parce que dans les fruits et légumes frais possèdent une foule de composants utiles au bon fonctionnement de ton corps.

1er avantage : Des vitamines

La vitamine C te permet de rester en forme et aide ton corps à se défendre contre les maladies. Il n’y a que les fruits et légumes qui peuvent t’en apporter.
Les vitamines B permettent aux cellules de ton corps de bien fonctionner.
Les carotènes se transforment dans ton corps en vitamine A et c’est cette vitamine qui te fait grandir et qui est bonne notamment pour ta vue.

2e avantage : Des minéraux

Des minéraux, comme le calcium, le magnésium, le fer, le cuivre et le fluor. Ton organisme en a absolument besoin. Et grâce au calcium, tes os peuvent bien grandir.

3e avantage : Des fibres

Des fibres, qui t’aident à bien digérer, et participent au bon fonctionnement de ton tube digestif. Elles sont

4e avantage : Des glucides

(ou sucres), qui servent de carburant pour ton cerveau et pour tes muscles. On les trouve surtout dans les fruits. Tu peux donc en manger un avant le sport pour faire le plein d’énergie ou après un match pour reprendre des forces.

5e avantage : De l’eau

très utile pour transporter les vitamines et les minéraux dans ton organisme. Et c’est aussi très rafraichissant : une belle pomme contient par exemple l’équivalent d’un verre d’eau !

6e avantage : Des pigments colorés

ce sont eux qui donnent de belles couleurs appétissantes aux fruits et légumes. Et ils servent aussi à protéger ton organisme.


(Source : https://www.lesfruitsetlegumesfrais.com/)

Habitudes alimentaires : comment accompagner vos ados à adopter un meilleur rythme

Certains adolescents sont friands des aliments sucrés ou gras entre les repas. Le grignotage devant l’écran de leur smartphone, d’ordinateur ou de la télévision devient alors une habitude.

L’organisation des repas

Pour arrêter de grignoter toute la journée, il est nécessaire de respecter le rythme de 3 repas par jour, en essayant de les prendre à heure fixe. Pendant le repas, il est recommandé de consommer des féculents (pâtes, pain, riz…) qui apportent de l’énergie pour tenir jusqu’au repas suivant. En cas de petit creux, il est conseillé de choisir un fruit, accompagné de 2 tranches de pain et d’un carré de chocolat par exemple.

Les ados raffolent souvent des produits sucrés. Ce n’est pas une fatalité, vous pouvez en discuter avec eux et les aider à limiter ces produits avec des petites astuces :

  • Les fruits sont naturellement sucrés et apportent en plus des vitamines. Frais, cuits, entiers ou en compote, il en existe toute une ribambelle pour varier les plaisirs.
  • En ce qui concerne les sodas, on peut en consommer de temps en temps.  On peut aussi alterner avec des versions « light » ou de l’eau pétillante aromatisée, par exemple. Les produits laitiers peuvent aussi être agrémentés d’une touche sucrée en y ajoutant des fruits frais coupés en dés ou de la compote.
  • Au goûter ou au petit déjeuner, on peut accompagner un morceau de pain d’un carré de chocolat (noir dégustation, au lait avec des noisettes, des amandes ou des raisins secs).

Le grignotage

Grignoter, c’est manger en dehors des repas. Le grignotage peut être encouragé par des menus peu consistants, mais aussi par le stress, l’ennui, etc. Lorsqu’on grignote, l’estomac travaille en permanence et il en prend l’habitude. Déréglé, il ne reconnaît plus la « vraie » sensation de faim. De plus, l’adolescent a tendance à se jeter sur les distributeurs qui fournissent des aliments gras ou sucrés : gâteaux, bonbons, barres chocolatées…

Comment leur donner envie de bouger plus et de limiter les écrans ?

Rester toute la journée (devant la TV ou l’ordinateur), ce n’est pas bon pour la santé. Le problème avec les activités dites « sédentaires » (TV, ordinateur, console de jeux…), c’est que d’une part, on ne bouge pas, mais en plus, ça s’accompagne souvent de grignotage de produits sucrés ou gras et de consommation de boissons sucrées.

Pour être en bonne santé, il est recommandé aux enfants et adolescents :

  • de faire au moins 1h00 d’activité physique par jour,
  • de limiter le temps passé assis ou allongé et de prendre le temps de se lever au moins toutes les 2h00 pour marcher un peu.

Quelques idées à leur proposer pour bouger plus au quotidien :

  • Aller en cours à pied, à vélo, en rollers ou en skate quand c’est possible.
  • Pourquoi ne pas jouer au foot avec les copains ou aller se balader ?
  • Prendre les escaliers au lieu de l’ascenseur au quotidien.
  • À la piscine, essayer de nager à son rythme, au moins une demi-heure. C’est un bon moyen de faire travailler tous les muscles du corps.
  • Pratiquer un sport
  • Faire un grand ménage de printemps dans leur chambre et pourquoi pas changer un peu la déco ?

(source : mangerbouger.fr)

Savez-vous ce qu’est un aliment ultra-transformé ?

Alors, c’est quoi un « aliment ultra-transformé » ? 

Les aliments ultra-transformés n’ont plus grand chose à voir avec les matières premières dont ils sont issus. En effet on dit qu’ils sont ultra-transformés car : 

  • Des additifs et/ou ingrédients (maltodetxrine, huiles hydrogénées, amidon modifié…) réservés à l’usage industriel et qui ne sont pas utilisés en cuisine à la maison, sont souvent ajoutés pour arriver au produit final que l’on retrouve dans nos rayons. 
  • L’aliment d’origine a subi d’intenses transformations physiques, chimiques ou biologiques par des procédés industriels (par exemple : fractionnement d’un aliment en de multiple composants – craking – prétraitement par friture, chauffage à très haute température…) 

Quelques exemples d’aliments ultra-transformés : 

  • Les sodas classiques et light, les boissons énergisantes
  • Les produits industriels comme les cordons bleus, les bâtonnets et nuggets à base de volaille, de poisson, ou de viande reconstituée
  • La charcuterie avec nitrites, 
  • Les nouilles instantanées ; les soupes de légumes déshydratés; 
  • La plupart des pains et brioches industriels, barrés de céréales, barres «énergétiques» et de nombreux gâteaux et biscuits industriels
  • La plupart des margarines
  • La plupart des boissons lactées aromatisées
  • Les desserts sucrés à base de fruits additionnés de sucres, d’arômes artificiels et d’agents texturants
  • Les barres chocolatées contenant généralement des émulsifiants
  • La plupart des légumes assaisonnés avec des sauces prêtes à l’emploi ; les galettes végétales (substituts de viande) contenant des additifs (texturants, exhausteurs de gout…) ; 
  • Les chewing-gums et bonbons avec colorants ou édulcorants
  • Les produits « santé » et « minceur » tels que les substituts de repas et de plats en poudre ou « enrichis », les aliments (yaourts, boissons, biscuits…) édulcorés

Qu’est-ce qu’un additif ? 

Dans la liste des ingrédients sur l’étiquette des produits que nous achetons nous pouvons parfois lire des mentions comme : E 300, E 104, E 129, gomme de xanthane, carboxyméthylcellulose, nitrites, acésulfame K, glutamate…  ce sont des additifs ! Ce sont souvent des ingrédients qu’on ne retrouve pas dans nos placards à la maison. Il s’agit entre autres d’édulcorants, d’émulsifiants, d’exhausteurs de goût, d’antioxydants… qui sont ajoutés dans les aliments pour améliorer leur saveur, leur goût, leur apparence et pour mieux les conserver.

On n’en connaît pas encore précisément l’impact sur la santé humaine à long terme. Alors par précaution, il est préférable de privilégier les aliments sans additif ou avec la liste la plus courte d’additifs.

Pourquoi il ne faut pas en abuser ?

Plusieurs caractéristiques des aliments ultra-transformés conduisent à penser qu’ils pourraient avoir des effets négatifs sur la santé, comme le suggèrent une vingtaine d’études épidémiologiques publiées récemment en France  et à travers le monde :

  • Ils sont de moins bonne qualité nutritionnelle en moyenne (plus de sel, sucre, graisses, moins de fibres, de vitamines, de minéraux)
  • Ils peuvent contenir des additifs dont l’impact sur la santé à long terme est encore mal connu, 
  • Idem pour la présence de contaminants formés au cours des procédés de transformation de ces aliments dont on ne connaît pas encore précisément l’impact sur la santé
  • Le contact prolongé avec les emballages alimentaires du fait d’une durée généralement longue de conservation pourrait également avoir un impact sur la santé
  • Les modifications de ces aliments lors des différents procédés de transformation impacteraient la vitesse de consommation de ces aliments, la vitesse de transit ainsi que l’absorption des nutriments qu’ils contiennent.

Alors par précaution on limite leur consommation.

Un aliment peu transformé est-il forcément de bonne qualité nutritionnelle ?

Non : même si les AUT ont en moyenne une moins bonne qualité nutritionnelle, il s’agit de deux notions différentes. Une pâtisserie maison très sucrée et contenant beaucoup de beurre n’est pas considérée comme un AUT mais est à consommer avec modération du fait de sa faible qualité nutritionnelle.

Quand vous faîtes vos courses, pour choisir les aliments de meilleure qualité nutritionnelle vous pouvez vous fier au Nutri-Score. Il permet de comparer 2 produits au sein d’un même rayon (par exemple les céréales du petit déjeuner), entre 2 marques différentes (par exemple des lasagnes de marques différentes) ou entre 2 produits consommés à la même occasion (par exemple des yaourts aux fruits avec des mousses au chocolats). En limitant les produits avec un Nutri-Score D et E on privilégie des aliments qui contiennent moins de sel, de graisses saturées, de sucre et de calories aux 100g, et plus de fibres, protéines, et fruits et légumes.

Pour manger encore mieux et se faire plaisir on essaie de cuisiner des plats maison

En cuisinant avec des produits frais de saison, des aliments en conserve ou surgelés non préparés comme des légumes nature ou des filets de poisson, nous pouvons limiter notre consommation d’aliments ultra-transformés.  
Le fait maison nous permet de limiter les aliments ultra-transformés mais aussi et surtout de se faire plaisir et de faire plaisir à ceux qui nous entourent. On peut passer de très bons moments à cuisiner, seul ou en famille. C’est aussi une activité ludique pour les enfants et un vrai moment d’apprentissage. Au final quel que soit notre âge, on est souvent contents de manger quelque chose qu’on a cuisiné soi-même !

Voir notre article : Alimentation saine : comment faire adhérer vos enfants

Pour finir !

Plus on cuisine maison moins on génère de déchets avec les emballages, c’est bon pour nous et aussi pour l’environnement, ça vaut le coup !

Voir notre article : Les conseils simples et rapides pour ne plus gaspiller

Votre Caisse des Écoles 17, toujours et encore mobilisée pour le dispositif « petits déjeuners » !

Un petit déjeuner pour bien commencer la journée à l’école

Le petit déjeuner est un repas incontournable pour le développement de votre enfant et une meilleure concentration en classe. Depuis janvier 2021, la Caisse des Écoles du 17e et la Mairie du 17e arrondissement s’associent à ce dispositif national.
La CDE17 met à disposition des écoles les denrées alimentaires, le personnel ainsi que le matériel nécessaire à la distribution des petits déjeuners. Les petits déjeuners sont servis par le personnel enseignant, dans les classes, de 8h20 à 8h40.

Depuis 1 an au coeur de notre arrondissement, 2 écoles sont pilotes de ce dispositif : Reims et Epinettes Maternelle.

Aujourd’hui, se sont les écoles Cité des fleurs et Pouchet qui se joignent au projet « petits déjeuners ». Le dispositif fonctionne sur la base du volontariat des équipes enseignantes des écoles REP (12 REP dans le 17e).

De quoi sont composés ces petits déjeuners ?

o   Lundi et vendredi : Cracottes, lait et fruit.

o   Mardi et mercredi : Pain de campagne, lait et fruit.

o   Jeudi : Pain aux fruits ou pain de mie, lait et fruit.

En quelques chiffres

Depuis 2021, c’est 28 300 petits déjeuners qui ont été servis.

Et dans les écoles du 17e :

École Cite des fleurs : 40
École Epinette Mat. : 48
École Pouchet : 45
École Reims Élém. : 82
École Reims Mat. : 25

La Caisse des écoles du 17e reste plus que jamais mobilisée pour ce dispositif, un moyen de soutenir les familles en offrant une alimentation saine et régulière aux enfants.

Les conseils simples et rapides pour ne plus gaspiller

Achats, hygiène, rangement, respect de la chaîne du froid… Au quotidien, de nombreuses astuces permettent de lutter contre le gaspillage alimentaire. Alors que chaque Français jette en moyenne 20 kg d’aliments par an, il est important de connaître les astuces afin de bien conserver ou de ne pas jeter.

Rangement des courses

Les produits doivent être rangés au réfrigérateur et au congélateur sans les entasser afin que l’air circule. Veillez à ranger les denrées dans une boîte ou une pochette réutilisable pour prévenir leur dégradation et les odeurs.

Dans le réfrigérateur, placez à l’avant les denrées qui doivent être consommées le plus tôt. Plus un frigo est bien aménagé, rangé, moins grand sera le risque de gaspiller les aliments qu’il contient.

Les fruits ne doivent pas à être disposés à côté des légumes. Certains d’entre eux comme la poire ou la pomme dégagent de l’éthylène, une substance qui les fait mûrir plus rapidement. Elle leur donne également un goût d’amertume.

Le cas de la tomate : réfrigérateur ou air libre ? S’il est possible de la mettre au réfrigérateur pour la préserver plus longtemps, elle conserve mieux ses qualités gustatives à l’air libre. Une solution : ne les achetez pas en trop grande quantité, quitte à retourner une à deux fois par semaine chez le primeur.

Moins acheter, c’est aussi moins gaspiller.

Bien doser les quantités

Voici quelques astuces pour doser les quantités à préparer pour une personne :

  • riz : 1/2 verre ;
  • pâtes : 1/2 grand verre ;
  • poisson : 140 gr ;
  • pommes de terre (petites) : 5.
  • Une portion de légumes en entrée, c’est l’équivalent de 80 à 100 grammes, cela correspond en moyenne à la taille d’un poing ou à deux cuillères à soupe pleines.
  • Une portion de légumes en plat principal, soit l’équivalent de 150 à 200g
  • Une portion de poisson/viande équivaut à 100g (cuit) = 2 œufs

Pensez à conserver le surplus des repas au congélateur.

Que faire des restes ?

  • Légumes : soupes, purées, gratins… ;
  • Fruits : un fruit légèrement abîmé peut se déguster en compote, smoothie ou coulis ;
  • Pain dur : on peut le transformer en chapelure ou en croûtons pour agrémenter la soupe ;
  • Viande : les restes se cuisinent en légumes farcis, wraps, quiches ou hachis.

Crumble pommes fraises vanille


PRÉPARATION
10 min

TEMPS DE CUISSON
20 min

MODE DE CUISSON
Four

SAVEURS
Sucrée

Ingrédients pour 2 personnes

  • 2.5 fraises
  • 0.5 pomme 
  • 40 g farine
  • 22.5 g beurre mou
  • graines de vanille

Les étapes de la recette

  1. Préchauffer le four à 180°C
  2. Préparer la pâte à crumble. Mélanger le beurre mou en morceaux et la farine du bout des doigts, jusqu’à l’obtention d’un mélange grumeleux.
  3. Peler, épépiner et couper la pomme en dés.
  4. Rincer, équeuter et couper les fraises en morceaux.
  5. Déposer les fruits dans un petit plat à gratin, recouvrir de pâte à crumble et enfourner pendant 20 à 25 minutes jusqu’à ce qu’il soit bien doré.

Alimentation saine : comment faire adhérer vos enfants ?

Vous êtes soucieux d’apporter à votre enfant, votre ado, une alimentation équilibrée, riche en fruits et légumes frais. Vous vous heurtez parfois à des refus? Voici quelques astuces pour aider votre enfant à prendre, dès le plus jeune âge, de bons réflexes alimentaires.

Ce n’est pas un travail toujours aisé, alors ne vous découragez pas et n’hésitez pas à montrer vous même l’exemple !

Préparez le terrain !

Diversifiez l’alimentation de votre bébé sans trop tarder, entre 4 et 6 mois, avec des légumes cuisinés “maison” et adaptez la texture de la préparation : en purée et en soupe.

Appréhender la variété des goûts sera un bon atout pour la suite : un enfant peut refuser momentanément certains aliments mais les ayants déjà goûtés, il est fort probable qu’il en reprenne la consommation par la suite.

Présentez les légumes et les fruits un par un avant de les combiner ou de les associer à d’autres aliments. L’enfant pourra ainsi bien différencier le goût des différents légumes etc. Un aliment bien identifié, bien connu, restera au répertoire des goûts de l’enfant. Encore un bon point pour la suite.

Appréhendez la nouveauté !

C’est à partir de l’âge de deux ans que votre enfant peut refuser son assiette et de goûter de nouveaux aliments. Rien de grave ! La majorité des enfants passent par ce stade.

Proposez patiemment et à plusieurs reprises le même aliment : plus on consomme, plus on aime.
Présentez de petites quantités

Dégustez devant l’enfant les aliments refusés (l’effet de mimétisme) par mimétisme, il sera incité à les goûter à nouveau.

Essayez de comprendre pourquoi votre enfant rejette les aliments proposés (Est-ce que le goût, la saveur ou la température ne lui va pas ?).

Lui faire découvrir un nouvel aliment

Quand vous avez un peu de temps, expliquez à votre enfant l’histoire du fruit ou légume : son nom, où et comment il pousse.

Des expériences sensorielles

Développez le plaisir de déguster un légume ou un fruit en faisant appel aux sens. Ça croque, ça croustille, ça fond, c’est doux, c’est sucré, c’est salé… Plus il s’approprie ses sensations, plus il développe sa curiosité en termes de goûts

De la couleur et de la variété

Plus le contenu de l’assiette est coloré et varié, plus il aura de chance d’être apprécié. 

La variété des couleurs est également un bon indicateur de la diversité en vitamines. L’aspect des aliments est également important pour les enfants.

Soignez autant que possible la présentation de l’assiette. Pour les enfants qui n’aimeraient pas les mélanges : séparez bien les aliments dans l’assiette.

En cuisine : l’envie de faire comme les grands

Impliquez votre enfant dès que possible dans la préparation du repas : mélanger une salade de fruits, laver les fruits, presser une orange, couper des légumes, ôter les pieds des champignons, effeuiller les endives, ajouter une feuille de basilic sur un repas etc. Veillez à lui confier des tâches adaptées à son âge et à lui proposer pendant la préparation, de goûter les fruits et/ou les légumes qui peuvent être consommés crus. Plus il prépare avec vous, plus votre enfant aura le désir de déguster ses petits plats avec envie et fierté !

Petite astuce : Si vous le voulez et le pouvez, achetez un tablier de chef pour enfant ! Se mettre dans le rôle pourra faciliter l’exercice !

Les bonnes associations

La technique est bien connue : mélanger un aliment déjà connu et très apprécié à un nouvel aliment !

Vous pouvez par exemple associer les légumes à les pâtes : tagliatelles de légumes (courgettes ou carottes), petits champignons frais sautés…

Mais pas seulement ! Pensez aux tartes, aux quiches et aux pizzas où il est très facile d’y glisser des petits légumes : du poivron, des tomates, de l’artichaut, des champignons, des courgettes, de la mâche… Pensez également aux purées (d’aubergines, de courgettes…) et aux compotes !

C’est à vous de jouer !